Tu nous prends soudainement
Le plus souvent insidieusement
Tu ignores nos souffrances
Parfois vient la délivrance
Certainement pas de tes mains
Mais de celles des médecins
Qui te donnent des points
De un a dix. Sans aucun soin
Tu persistes jours et nuits
A nous faire mal, tu nous poursuis
Et affecte notre âme et corps
Ô toi douleur, tu sembles à tort
Ou à raison, vouloir nous faire peur
Et te réjouir de notre malheur.
Comme un serpent aux aguets
Tu injectes ton venin son arrêt.
Pour pouvoir vivre en paix
Et se débarrasser de tes méfaits
Il faut sans pitié te tuer.
de Amandine
Le plus souvent insidieusement
Tu ignores nos souffrances
Parfois vient la délivrance
Certainement pas de tes mains
Mais de celles des médecins
Qui te donnent des points
De un a dix. Sans aucun soin
Tu persistes jours et nuits
A nous faire mal, tu nous poursuis
Et affecte notre âme et corps
Ô toi douleur, tu sembles à tort
Ou à raison, vouloir nous faire peur
Et te réjouir de notre malheur.
Comme un serpent aux aguets
Tu injectes ton venin son arrêt.
Pour pouvoir vivre en paix
Et se débarrasser de tes méfaits
Il faut sans pitié te tuer.
de Amandine